Selon l’Office fédéral de la
sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV), les consommateurs peuvent continuer de boire de l’eau potable dans
laquelle on a détecté des métabolites du chlorothalonil. Les exigences fixées
pour l’eau potable en Suisse sont très élevées et font l’objet de contrôles
stricts pour veiller au respect des normes en vigueur.
Les métabolites de substances
probablement cancérigènes, tel que le cholorothalonil, sont indésirables dans
l’eau potable. À long terme, ces substances sont admises uniquement à des
concentrations infimes, le seuil légal étant fixé à 0,10
µg/l.
Les distributeurs d’eau, les communes et les cantons doivent veiller à trouver
des solutions durables pour assurer le respect des exigences légales.